Le Paddock du Moto GP

pour toutes les news du paddock du Moto GP, c'est ici que ça se passe!

merci d'avoir créer la section, mais apres la 2eme place de Jacques, je trouvais que la moto était oubliée.

Interview d'Olivier Jacque
« Je pense avoir étonné, et moi le premier »

Après sa magnifique deuxième place au Grand Prix de Chine, Olivier Jacque revient sur cette course extraordinaire et les différents sentiments qui l'ont animé.

Aurais-tu imaginé il y a quelques jours obtenir un tel résultat ?
« Sûrement pas ! J'ai très peu roulé depuis deux ans. Juste un remplacement pour Moriwaki l'année dernière sur les Grands Prix du Japon en septembre, et de Valence en novembre. Comme il s'agissait d'un remplacement d'Alex Hofmann, blessé, Kawasaki m'a prévenu assez tard et je n'ai pas eu le temps de m'affûter physiquement. De plus, je n'avais jamais roulé sur la ZX-RR avant les quelques essais que nous avons réalisés quelques jours avant notre départ pour la Chine. De même, les pneumatiques Bridgestone étaient nouveaux pour moi et c'était notre premier roulage à tous sur le circuit de Shanghai. Beaucoup d'inconnus donc avant de poser le pied en terre chinoise. »

As-tu rencontré des problèmes pendant la course ?
« Oui, j'ai été très handicapé par de la buée dans mon casque. L'eau restait sur ma visière. Je ne voyais plus les virages, c'était l'horreur. J'ai mis un temps fou à doubler Sete Gibernau car je n'avais aucune visibilité. Seuls quelques centimètres carrés de visière sur le côté me permettaient de voir quelque chose. Je devais tourner la tête à droite en permanence. Quand j'ai eu passé Gibernau et que je n'étais plus dans la chaleur de son moteur, c'est allé un petit peu mieux. Mais avant ça, c'était l'enfer ! L'idée d'abandonner m'a même traversé l'esprit, quelques secondes. Heureusement que j'ai persévéré. »

As-tu senti Valentino Rossi à ta portée ?
« On ne va pas refaire l'histoire mais honnêtement, si je n'avais pas eu autant de problèmes de buée, je pense que la victoire était à ma portée. J'ai mis très longtemps à doubler mes adversaires et ça a été le summum pour passer Gibernau. Si j'avais pu le faire plus tôt, j'aurais pu espérer me bagarrer avec Valentino. Je ne termine qu'à 1 seconde 7 et j'en ai perdu bien plus que ça à cause de ce manque de visibilité. »

Qu'as-tu ressenti en passant la ligne d'arrivée ?
« Je me suis dit, c'est incroyable ! Je n'en revenais pas. J'ai vraiment donné le meilleur de moi-même. C'est aussi fort que mon titre de champion du monde 250 en 2000. Pendant trois ans, je me suis battu pour monter sur un podium de MotoGP. J'ai bien failli, au Grand Prix d'Allemagne 2002, avant de me faire percuter par Alex Barros. Aujourd'hui est un grand jour pour moi. Je pense avoir étonné, et moi le premier. J'imagine que l'équipe de Rossi n'avait pas de pancarte « OJ » prête à lui passer pour lui signifier que j'étais derrière lui ! »

Comment s'est comportée la moto ?
« La moto et les pneumatiques ont été parfaits du premier tour au baisser du drapeau à damiers. J'ai trouvé mes marques tout de suite. J'étais vraiment en phase avec la moto. L'équipe a réalisé un boulot fantastique et les réglages étaient conformes à mes souhaits. Je dirais même que le confort et la confiance sont montés crescendo. Je me sentais de mieux en mieux au fil des tours. À mi- course, j'ai eu une pensée pour les équipes Kawasaki et Bridgestone et je leur ai dit merci. »

T'es-tu fait peur sur cette piste détrempée ?
« Non, pas vraiment. Hormis ce problème de buée qui m'aveuglait. La moto était vraiment bien contrôlable. J'ai fait quelques belles glissades que j'ai pu récupérer. Et une fois, j'ai mordu la bande blanche. C'était chaud, mais j'étais tellement concentré que j'ai pu contrôler à chaque fois. Je pouvais vraiment prendre la mesure de l'adhérence. »

Comment t'es-tu intégré dans ce team Kawasaki officiel ?
« Je n'arrivais pas en terre inconnue puisque j'avais déjà travaillé avec l'ingénieur, Monsieur Yoda, qui était chez Yamaha à l'époque de mon titre. Nous nous sommes toujours très bien entendus et beaucoup respectés mutuellement. De même Christophe Bourguignon, mon chef mécanicien chez Kawasaki, était mon ingénieur suspensions et, avec lui, j'ai gagné mon premier Grand Prix au Brésil en 1996. Quant à Shinya Nakano, il a été mon ami et rival pendant plusieurs saisons chez Tech 3. Ça a été un sentiment très fort de retravailler avec eux. Et cette arrivée était chargée d'émotions. »

Shinya a abandonné...
« ... quel dommage, pour son centième Grand Prix ! Un abandon sur problèmes électriques, c'est rageant ! Il a fait un super boulot sur la Kawasaki pendant deux ans. C'est lui qui l'a mise au point et l'a faite évoluer. Si je réalise cette belle place aujourd'hui, c'est également grâce à lui. J'étais là quand il a disputé son premier Grand Prix et j'étais là ce week-end pour son centième. La séance photo de cet événement a été un autre grand moment d'émotion. »

Penses-tu que des perspectives vont s'ouvrir pour toi en MotoGP ?
« Il est trop tôt pour le dire. Ce qui compte maintenant, c'est le Grand Prix de France au Mans dans 15 jours. Je vais être tellement heureux de disputer mon Grand Prix national et de retrouver mes fans. Je ferai de mon mieux, je vais tout donner. Mais il faut être lucide, cette deuxième place à Shanghai est tout à fait exceptionnelle. On ne va pas vivre ça tous les week-ends. Tout le monde en est conscient, moi le premier. Dites à Claude Michy, l'organisateur du Grand Prix de France, de faire brûler un cierge pour qu'il pleuve au Mans ! »


source : http://moto.racing-live.com/fr/

L'écurie Kawasaki a réuni pour les Grands Prix de Chine et de France le Japonais Shinya Nakano et le Français Olivier Jacque. Les deux hommes ont été formés ensemble dans la pépinière des pilotes de compétition, l'écurie Tech 3 dirigée par Hervé Poncharal. Celui-ci avait offert à ses deux poulains l'opportunité d'accéder ensemble à la catégorie reine, la MotoGP.

Jacque champion du monde en 2000 devant Nakano
Plus qu'une solide amitié, ce sont pratiquement des liens fraternels qui unissent les deux pilotes. Ensemble, ils ont gravi les échelons en 250cc jusqu'à réaliser le doublé dans le Championnat du monde 2000. «O.J.» l'avait emporté lors de la toute dernière course, en battant Nakano de 14 millièmes de seconde. Leur succès quasi-commun et les excellents rapports entretenus par Poncharal avec le constructeur nippon Yamaha leur avait valu un guidon au plus haut niveau.

Pour des raisons diverses, les deux pilotes ont quitté leur mentor. Jacque n'a pas trouvé d'écurie compétitive en 2004 et s'est retiré, contraint et forcé. Nakano a, de son côté, tenté l'aventure Kawasaki, qui effectuait son retour en compétition. Le Japonais s'est lancé dans le développement de la Ninja ZX-RR, assisté par le jeune pilote allemand Alex Hofmann. Lequel s'est blessé lors d'une opération de promotion avant le Grand Prix du Portugal, qu'il n'a pas pu disputer.

Performance inattendue en Chine
Kawasaki a alors fait appel à «O.J.» dont la performance au Grand Prix de Chine, il y a quinze jours, a tenu du miracle. Les cieux ont décidé de favoriser le retour à la compétition du Français, déversant des seaux de pluie sur le passage de la machine qu'il découvrait et sur laquelle il est allé fièrement prendre la deuxième place, à moins de deux secondes du vainqueur, l'Italien Valentino Rossi (Yamaha).

Le Français ne s'enflamme pas pour autant et rappelle lui-même qu'aux essais libres, sur piste sèche, il avait conquis le 15e temps, performance déjà méritoire après plus d'un an d'interruption. «Beaucoup de non-initiés pensent que je serai à nouveau sur le podium. Il faut être lucide. Le Mans n'est pas un circuit de pilotage et la puissance des machines est essentielle», a-t-il déclaré.

Selon «O.J.», «la Kawasaki reste une moto nouvelle en MotoGP et elle ne possède pas encore le potentiel qui lui permet d'être devant à tous les coups. Par contre, c'est une moto sur laquelle je me sens bien, donc, on peut viser un coup d'éclat si les pneumatiques suivent.»

Le Mans, terrain de jeu des deux hommes
«La météo sera fondamentale, prédit Jacque. Si la piste est sèche, on peut espérer terminer aux alentours de la dixième-douzième place et ça, les connaisseurs le savent bien. Par contre s'il pleut, on peut se permettre de rêver.» Le Français affirme aborder l'événement «sans pression. En fait, j'apprécie le soutien de la foule et je suis très à l'aise devant mon public. Je suis certain que ce sera une grande fête.»

Dimanche, Olivier Jacque sera à nouveau associé à Nakano sur le circuit Bugatti, leur terrain de jeu. «Le Mans est mon deuxième Grand Prix national. J'ai toujours aimé courir ici, où beaucoup d'amis viennent m'encourager», indique le Japonais, qui a vécu quatre ans à Bormes-les-Mimosas (Var), fief de l'écurie Tech 3.

«C'est un tracé de freinages et d'accélérations, analyse le Japonais. Avec notre nouveau moteur et le dernier dispositif d'injection électronique, j'espère que la moto sera très compétitive. Cette année, notre châssis est plus stable de l'arrière à l'accélération et offre un meilleur équilibre général.»

source : AFP

Championnat pilotes MOTOGP 2005 après Assen

01 V.ROSSI 170
02 M.MELANDRI 107
03 M.BIAGGI 87
04 S.GIBERNAU 84
05 A.BARROS 74
06 C.EDWARDS 73
07 N.HAYDEN 60
08 L.CAPIROSSI 49
09 S.NAKANO 48
10 C.CHECA 40
11 T.BAYLISS 37
12 R.XAUS 28
13 O.JACQUE 25
14 J.HOPKINS 19
15 M.TAMADA 18
16 T.ELIAS 15
17 J.VD GOORBERGH 12
18 A.HOFMANN 9
19 K.ROBERTS 9
20 R.ROLFO 7
21 J.ELLISON 4
22 D.CHECA 4
23 T.UKAWA

Moto GP : Rossi prolonge chez Yamaha


Valentino Rossi pilotera toujours une moto Yamaha en 2006, comme l'a annoncé le constructeur japonais mardi. Le sextuple champion du monde a prolongé son contrat d'un an, mettant ainsi fin aux rumeurs de départ chez un concurrent, voire même en Formule 1 ou encore en rallye.

L'Italien, qui avait rejoint Yamaha en 2004 en provenance de Honda, continue d'écraser la concurrence, avec cette saison huit victoires en dix Grand Prix et un cinquième titre consécutif dans la catégorie reine qui se profile.

«Je suis très heureux de pouvoir annoncer la prolongation de ma collaboration avec Yamaha, a déclaré Rossi. L'année dernière a été magique, gagner ma première course avec Yamaha, puis remporter le titre mondial. Il était alors évident de continuer avec eux une année de plus.»

Rossi offre le titre à l'équipe Gauloises Yamaha
En signant sa dixième victoire de la saison

Six jours après avoir remporté le titre en Malaisie, l'équipe Gauloises Yamaha a, grâce à la dixième victoire de Valentino Rossi, remporté également le titre mondial par équipe.

Rossi est également devenu l'unique pilote Yamaha à remporter un nombre de victoires à deux chiffres, après un duel haletant dans le dernier tour avec Marco Melandri (Honda), alors que Colin Edwards, grâce à sa quatrième place, assurait le titre à son équipe.

Cette 79ème victoire de Rossi a été acquise au terme de 22 tours intenses du circuit de Losail, Capirossi (Ducati) prenant le premier la tête devant Gibernau (Honda). Ce dernier allait ensuite s'échapper avec un léger avantage à la mi-course, mais rattrapé ensuite par le groupe de chasse, il commettait une erreur cinq tours avant la fin.

Rossi allait donc se battre avec Melandri aux avant-postes, Hayden (Honda) n'étant pas loin en troisième position. Alors qu'il ne restait que trois tours, Rossi se portait en tête et repoussait une dernière attaque de Melandri à deux virages de la ligne d'arrivée.

Titres pilote et équipe en poche, il ne reste plus à Yamaha qu'à avoir 50 points d'avance après Phillip Island pour enlever le titre constructeur.

Valentino ROSSI (1er)
« Quelle course ! Pour moi ce fut la meilleure de la saison, c'était si drôle. J'avais gardé un mauvais souvenir de ce circuit l'an passé, je voulais gagner et après les essais d'hier je savais que c'était possible. J'ai eu des rivaux impressionnants et trois d'entre eux ont montré jusqu'à la fin qu'ils étaient en grande forme. Nous avons donné plus de 100% et nous sommes livrés une bagarre fantastique du début à la fin. Je dois remercier Yamaha et toute mon équipe, car dans les derniers tours, ma moto était vraiment rapide, ce qu'il me fallait car Marco était très fort et nous avons bataillé ferme. Il a essayé de me passer dans le dernier tour, mais j'ai pu le contenir et remporter ma dixième victoire. Je suis très, très content. »

Colin EDWARDS (4ème)
« Je pensais être dans le rythme hier, mais il nous fallait un petit peu plus de grip arrière pour franchir l'étape supérieure et nous avons choisi des pneus différents ce matin. C'étaient les mêmes que ceux des autres, mais mes réglages étaient adaptés à ceux d'hier. J'avais du sous-virage dans pas mal d'endroits. Nous devrons en tenir compte pour Phillip Island. Je suis déçu pour l'équipe, car j'avais confiance dans mes capacités à me battre pour la victoire. La consolation vient des points acquis avec ma 4ème place qui ont scellé le titre par équipe et c'est une bonne chose en repartant d'ici. »

Davide BRIVIO – Directeur de l'équipe Gauloises Yamaha
« Aujourd'hui, nous avons vu une course fantastique, nous avons remporté une autre victoire et un nouveau titre, nous sommes donc ravis. Valentino voulait clairement gagner la course après ce qui s'était passé l'an dernier. Il y est parvenu, donc il faut l'en féliciter. Colin a terminé quatrième, ce qui n'est pas ce qu'il espérait, mais il a marqué des points importants et s'est rapproché de la seconde place au championnat. Nous en sommes ravis pour lui. L'équipe a très bien travaillée depuis jeudi, trouvant les bons réglages pour les deux motos. Nous avons remporté le titre par équipe aujourd'hui, dons félicitations à tout le monde. Comme Valentino et Colin aiment Phillip Island, nous sommes maintenant impatients de rejoindre l'Australie dans deux semaines. »

Yamaha Racing

Suzuki confirme l'arrivée de Vermeulen
L'Australien débarque en MotoGP

Il était acquis, depuis quelque temps, que Chris Vermeulen allait rejoindre l'équipe Suzuki MotoGP. La confirmation est arrivée, vendredi.

L'Australien, 23 ans, a signé un contrat de deux ans avec la marque japonaise. Il prendra le guidon de la GSV-R dans une dizaine de jours, sur le circuit de Valencia, au lendemain de la clôture du championnat du monde MotoGP.

« Je suis tellement excité. Ce sera une saison évidemment difficile, je devrai apprendre de nouveaux circuits, une nouvelle moto et découvrir une nouvelle équipe, mais je sais que je serai à la hauteur », commentait Chris, qui avait lui-même officialisé sa signature avec Suzuki au NEC Bike Show de Birmingham.

Vermeulen arrive d'une saison en World Superbike plus que satisfaisante. Défendant les couleurs du team Ten Kate Honda, il a lutté pour le titre avec le pilote Suzuki Troy Corser, face auquel il lui a fallu s'incliner.

Il a fait ses premiers tours de roues en motocross avant d'enfourcher des 250 et 600cc en championnat d'Australie. C'est là qu'il a tapé dans l'oeil du grand Barry Sheene, ancien champion du monde Suzuki, qui l'a persuadé de venir rouler en Grande-Bretagne.

Chris a, ainsi, posé le pied sur le vieux continent en 2000, pour disputer les championnats britanniques de Supersport et Superstock. Les premières victoires n'ont pas été longues à arriver et, dès 2001, Vermeulen s'alignait en mondial Supersport.

Il a décroché le titre en 2003 et s'est attaqué au championnat du monde Superbike. Faisant de sa Honda une sérieuse prétendante à la victoire, il a signé six succès au cours de sa première campagne.

« J'ai connu Paul Denning à mon arrivée en Angleterre, en 2000, et je suis vraiment impatient de travailler avec lui et l'ensemble de l'équipe. Je vais essayer de marcher sur les traces de champions du monde tels que Barry Sheene – l'homme qui m'a donné ma première chance – Kevin Schwantz et Kenny Junior », poursuivait-il. « J'ai également hâte de travailler avec Bridgestone et Suzuki. Je veux remercier Suzuki de me donner cette chance en MotoGP et de croire en moi. »

Malgré son jeune âge, Vermeulen a déjà démontré sa soif de victoire et son talent pour développer une machine. Ce sont ces qualités, ainsi que son potentiel, qui ont persuadé Suzuki de lui offrir la place laissée vacante par Kenny Roberts Jr.

« Suzuki est enchanté de s'être assuré les services de Chris. Il est l'une des étoiles montantes de la moto et va, sans aucun doute, apporter une bouffée d'air frais à l'équipe. Il a déjà montré son appétit de victoire et sa capacité à s'adapter rapidement à de nouvelles situations », commentait Paul Denning, responsable de l'équipe Suzuki MotoGP. « Chris et Suzuki sont conscients de l'ampleur de la tâche qui les attend, mais nous sommes tous persuadés que Chris est le bon choix pour l'avenir. Nous sommes très reconnaissants à l'équipe Ten Kate de l'avoir libéré plus tôt de son contrat. »

Chris Vermeulen fera équipe avec l'Américain John Hopkins, 22 ans, présent dans l'équipe depuis 2003.

Gibernau rejoint Ducati
Sete avait besoin d'un nouveau challenge


Le rideau à peine tombé sur la saison 2005, il est temps de penser à la campagne 2006. La compétition terminée, le jeu des chaises musicales peut battre son plein.

La première annonce est arrivée quelques heures après l'arrivée du GP de Valencia : comme on le pressentait, Sete Gibernau rejoint l'équipe Ducati, en remplacement de son compatriote Carlos Checa.

« Je suis ravi d'accueillir Sete. Nous pensons qu'il est l'un des pilotes les plus solides du plateau MotoGP. Il est talentueux, volontaire et courageux. Sete a eu une saison difficile, cette année, mais il a montré qu'il n'abandonnait jamais, dans le plus pur esprit Ducati », commentait Federico Minoli. « Nous sommes donc très fier de le compter parmi nous pour 2006, aux côtés de Loris. Ce sont deux très bons pilotes et nous ferons tout pour leur donner le matériel dont ils ont besoin pour obtenir les meilleurs résultats possibles. »

L'Espagnol a signé pour la seule saison 2006 et fera équipe avec Loris Capirossi, dont le contrat avait été prolongé à la veille du GP du Japon, au mois de septembre.

Vice-champion du monde en 2003 et 2004, avec l'équipe Gresini, Gibernau a été emballé par l'association Ducati-Bridgestone, qui a déjà obtenu quelques bons résultats, dont les victoires de Capirossi au Japon et en Malaisie.

« Après avoir obtenu de grands résultats et beaucoup de satisfaction ces dernières années, et après une saison difficile, j'ai décidé de donner un nouveau souffle à ma carrière », expliquait Sete. « Je tiens, tout d'abord, à remercier les personnes qui m'ont aidé à obtenir autant de bons résultats. Il est maintenant temps de trouver une nouvelle motivation. Le professionnalisme et l'enthousiasme que j'ai trouvés chez Ducati m'ont convaincu de rejoindre la marque. J'aborde ce nouveau défi avec une grande détermination, persuadé que nous obtiendrons de bons résultats ensemble. Ducati a démontré qu'elle avait de grandes ambitions et un potentiel certain. Je pense pouvoir contribuer à faire de nos rêves communs une réalité. »

Biaggi à pieds pour 2006?

Biaggi semble se diriger vers une saison 2006 blanche, en effet ni honda, ni yamaha et autres ducati, Kawasaki et Suzuki ne veulent le voir au guidon d'une de leur moto malgré l'apport de 12 millions d'euros de son sponsor Camel!
la seule piste qui lui reste, c'est celle de Kenny Roberts qui construit ses propres motos... avec de faibles résultats...!

valentino est vraiment trop fort!!!!ce qui est dommage c est qu il n y ai pas de pilotes a sa hauteur pour voir de belle bagarre.comme toujours il n y a jamais deux pilotes d exception en meme temps et ce dans beaucoup de sport.j aurai aimer voir un duel rossi/doohan,mais la je reve je sais.

et là on peut dire que c'est le pilote qui est le plus fort! parce que quand il était chez honda, Yamaha avait des résultats de merde, et Honda ecrasait le championnat!

cest une des raison de son depart de chez honda car il (honda) ont dit que c etait la moto qui gagnai et non valentino.il leur a prouver le contraire.et le plus beau c est qu il a un sacre humour.j adore ses fin de course .le plus drole ca ete avec la poule assise sur le reservoir pendant son tour d honneur .trop fort

Oui c'est sur que c'est un srudoue de la moto mais il y en a quelque un qui peuvent ( je dit bien peuvent ) lui faire un pitit bout d'ombre : Olivier Jacques, apres ses quelques problemes et son grand retour il a failli double Rossi apres avoir tout remonte los d'une course !! il y a aussi Biaggi ( il continue lui ? je sais pas je suis pas l'actu moto ! )

bah oj je ne sais pas.est ce que valentino n a pas assurer ce jour-la?et pour biaggi je ne crois pas il ne tiens pas a la pression pour preuve c est trop nombreuses chutes des qu il s agit attaquer fort.ceci est mon point de vue.le seule qui pourrai etre deangereux est sete gibernau et en plus il passe chez ducati alors!!!

Biaggi se retire

Est-ce le second effet Rossi ? A 34 ans, l'Italien Massimiliano Biaggi, plus connu sous le surnom de Max, a décidé de mettre un terme à sa carrière en Grand Prix, annonce L'Equipe dans son édition de mercredi. Son principal fait d'armes restera la série de quatre titres consécutifs de champion du monde des 250 cc entre 1994 et 1997. Cinquième en 2005, pour sa huitième saison en 500 cc/MotoGP, il laisse une fiche riche de 42 victoires et 56 poles toutes catégories confondues.

Héritier de la riche lignée des pilotes italiens, d'Agostini à Rossi, Biaggi n'avait plus de guidon pour 2006 après une saison où il a connu sur Honda son pire classement depuis sa deuxième saison en championnat du monde en 1992. Afin d'expliquer la décision du Romain, le quotidien sportif évoque «l'ascendant pris par son ennemi intime, Valentino Rossi» (derrière qui il a terminé deuxième en MotoGP en 2001 et 2002), sa rupture avec Honda et «l'arrivée d'une nouvelle génération de pilotes».

Biaggi annonce qu'il a prévu d'expliquer son retrait dans deux mois: «vous lirez dans un livre toutes les vérités qui n'ont jamais été dévoilées.» L'Italien ne rejette tout de même pas l'idée de continuer la compétition par le biais des Superbike. «C'est un championnat qui m'a toujours plu et c'est une possibilité intéressante mais je dois encore réfléchir. Même si le temps à ma disposition est bien court» a-t-il confirmé.

Tiens, je suis presque surpris de le revoir si vite "sur pieds"

Si j'ai bonne mémoire, il était vachement amoché. Il savait même pas s'il pourrait remarcher un jour.

Enfin bon, c'est cool pour lui!

fais chier tiens, mais bon ce genre de chute ne lui etais jamais arriver..

ce qui est embetant c'est pour la lutte au championnat, mais je doute qu'il reste indisponible pendant aussi longtemps..